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François Arnaud

Les thèses encadrées par "François Arnaud"

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3 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 3
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  • Le numérique et l'esprit. Prendre soin des technologies numériques de l'esprit à la lumière de Gilbert Simondon, Maurice Merleau-Ponty, Henri Bergson.    - Puig Mailhol Vincent  -  13 mars 2023

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    Cette adresse aux designers procède d'une démarche de décentrement anthropologique pour tenter de penser et prendre soin du digital comme spiritual au sens où Derrida interprétait ainsi le processus de questionnement mais aussi la technique chez Heidegger. Cet itinéraire passe par une critique de la notion d'information chez Simondon pour repenser « l'âme des objets ». Il se poursuit par une analyse de la question de la chair à partir de Merleau-Ponty pour proposer le passage d'une « chair souffrante du numérique » à une organologie et une pharmacologie du geste digital. Il aborde enfin ce que Bernard Stiegler nommait les technologies de l'esprit, par le prisme de l'intuition bergsonienne et de la transduction simondonienne pour réintroduire la pensée analogique dans le design numérique d'une bienveillance dispositive, condition techno-esthétique, éthique, cosmotechnique et politique du développement du bien commun et des savoirs.

  • Nietzsche, Kafka et Benjamin : une autre philosophie de l'histoire    - Duclos Anne  -  21 octobre 2020

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    Observateurs lucides de leur époque, Nietzsche, Kafka et Benjamin ont également mis en lumière la structure secrète de l'histoire et la manière dont elle s'enracine dans la subjectivité humaine. L'histoire est pour eux une façon de s'orienter dans le temps et d'entrer en rapport avec les temporalités passées et futures, dans une relation qui peut être de discorde et de refus, de nostalgie et d'admiration, d'entente et de solidarité, d'ignorance et d'oubli. Ils guettent les symptômes de l'histoire, qui est pour eux maladie, catastrophe, stagnation, mais dissimule peut-être en elle-même son propre antidote. Dans cette autre philosophie de l'histoire qu'ils proposent, le premier rôle revient à l'historien, qui est tour à tour philosophe, conteur, médecin et révolutionnaire. La tâche lui incombe de comprendre les faillites de l'histoire et d'en explorer les ruines. Faut-il poser le diagnostic en termes de barbarie et de nihilisme ? N'est-ce pas plutôt la narration, la fiction et le mensonge à l'œuvre dans l'histoire qui transforment celle-ci en entreprise de fabrication et de conditionnement des êtres humains ? La mémoire historique est mémoire de la faute, du châtiment et d'une dette que la monnaie de l'histoire ne parvient jamais à rembourser. L'autre philosophie de l'histoire de Nietzsche, Kafka et Benjamin est une philosophie combative qui cherche à modifier notre conception de l'histoire, à accomplir les espérances du passé et à conserver la mémoire de l'avenir.

  • L'impersonnel comme stratégie créatrice    - Kyung Hye Young  -  16 juin 2017

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    La thèse de l'Impersonnel chez Deleuze pose une question fondamentale à la philosophie, dans la mesure où le terme s'oppose à la notion de personne qui porte une longue histoire de constitution et développement. Pourtant, nous ignorons parfois le contenu complexe de la notion de personne qui enveloppe plusieurs domaines différents et le développement dans une longue durée, peut-être à cause de la banalité du terme dans la vie quotidienne et de l'usage dans la philosophie dite traditionnelle. Notre recherche s'intéresse au plus près du développement de la notion de personne pour examiner ce qui en était retenu et ce qui en était rejeté dans l'histoire de la philosophie. La présente étude sur la thèse de l'impersonnel a pour objectif de comprendre à quel point la thèse deleuzienne de l'impersonnel s'oppose à la personne, et pour quelle raison elle propose une nouvelle manière de philosopher. Comme point de départ, la partie sur la personne comprend l'origine du terme et ses sens lexicaux afin d'étudier les domaines où elle s'est développée, inséparables de la philosophie, comme la grammaire, la rhétorique, la théologie, la philosophie du droit. La deuxième partie consacrée à la thèse deleuzienne de l'impersonnel commence à partir du kantisme et du post-kantisme comme point nodal entre l'histoire de la personne et la critique de Deleuze ; elle étudie sa proposition d'une nouvelle philosophie qui permettrait de libérer la philosophie de la théologie et de l'anthropologie, de libérer l'homme de l'identité et de l'assujettissement, et de libérer une puissance créatrice pour inventer une nouvelle manière de vie.

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