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Humanités (2018-...)

Les thèses soutenues à l'école doctorale "Humanités (2018-...)"

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27 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 10
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  • Les Demotte, marchands d'art inclassables au début du XXe siècle    - Vivet-Peclet Christine  -  20 décembre 2019

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    Georges Joseph Demotte (1877-1923), puis son fils Lucien Demotte (1906-1934) ont été des marchands d'art particulièrement actifs durant le premier tiers du XXe siècle entre Paris et New York. Georges, le père, en moins de vingt ans, construite une entreprise installée des deux côtés de l'Atlantique et qui occupe une place de premier plan reconnue pour deux domaines de spécialité, les arts de l'Islam et l'art médiéval. Lucien, son fils, qui exerce son activité sur une période plus courte, durant dix ans, poursuit l'entreprise familiale. Il se tourne vers le marché nord-américain et donne à la galerie une nouvelle impulsion en proposant des expositions ambitieuses et intégrant à son activité la vente de peinture moderne. Les Demotte se distinguent aussi par leur utilisation des reproductions des oeuvres d'art, photographies et moulages, et pour construire à côté de leur commerce une maison d'édition de livres d'art. Cette thèse s'appuie sur différentes sources dont la plus importante est un fonds de plaques photographiques reproduisant en majorité les oeuvres passées dans leurs galeries, parisienne et newyorkaise, donné au musée du Louvre à la fin des années 1970. L'étude des oeuvres reproduites sur ces plaques permet de retracer l'activité des deux antiquaires. Gemmes et bijoux, miniatures persanes, sculptures médiévales, peintures espagnoles, vitraux, peintures françaises d'avant-garde vont ainsi être les objets successifs de leur commerce entre 1905 et 1935. À travers le choix d'objets proposés dans leurs galeries se dessine le portrait de la société d'amateurs d'art du début du XXe siècle, en particulier aux États-Unis au moment où se constituent de très grandes collections privées, qui bien souvent vont rejoindre et enrichir les collections des grands musées alors également en pleine expansion. L'analyse de toutes les sources indirectes (archives des collectionneurs et des musées clients des Demotte, des autres antiquaires contemporains, de la presse locale, nationale et internationale) permet également de mesurer la notoriété de ces deux antiquaires dont la carrière a été égrenée par quelques fameux scandales. Il est possible de suivre leurs collaborations avec d'autres marchands, leurs relations avec leurs clients et leur importance dans le monde artistique de l'époque et des débats qui l'agite sur la promotion et la protection du patrimoine, sur la question de l'intégrité et de l'authenticité des oeuvres, en particulier.

  • Le colonne del ciborio della Basilica di San Marco a Venezia    - Villano Maria Aimé  -  15 mai 2020

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    Le sujet de cette thèse est l'étude d'une œuvre d'art, les colonnes sculptées du ciborium de San Marco à Venise. En partant d'une analyse de toutes les parts que composent aujourd'hui l'oeuvre (parts sculptées, inscriptions, architecture du ciborium), le but principal est-ce de tracer la complexe biographie d'un objet que, comme beaucoup d'autres à San Marco et dans l'Occident chrétien, ont été décontextualisés. Au-delà des questions classiques posées par l'histoire de l'art comme discipline (où ? quand ? par qui ?) l'objet décontextualisé ouvre les portes à une série d'interrogations dont les réponses peuvent nous dire beaucoup sur la mentalité médiévale en rapport aux concepts de conquête, pillage, appropriation et prestige. L'emplacement de quatre colonnes avec la vie de la Vierge et de Christ, arrachées à l'environnent pour lequel elles avait été créés, sur le tombeau du évangéliste, c'est-à-dire dans le lieu le plus sacre et le plus signifiant -pas seulement de la basilique de San Marco mais de la ville entière-, ne peut que être le résultat d'une décision précise et raisonnée. Les élégantes inscriptions en lettres capitales, gravées avec soin et destinées au publique restreint qui avait accès à la zone derrière l'iconostase, témoignent aussi la grande importance attribué aux colonnes. Qui était-il le fauteur de ce déplacement ? quand ont elles était déplacées et d'où ? quelle message symbolique ou politique véhiculait la réutilisation d' œuvres d'art enlevées de lieux prestigieux ? Au même temps le fil invisible de l'histoire nous ramène vers le moment de la création de ces quatre objets, à la fin de l'antiquité, qui, à cause de la complexité des parts sculptées, devaient appartenir à une église importante. La présence si insisté des histoires de la Vierge et ses parents, qui occupent une colonne entière, nous jette vers les profondes et raffinées disputes autour de la nature de Christ que, au sein du cinquième siècle, ont frappé les bases théologiques de la chrétienté. Ces disputes ne concernaient pas seulement Constantinople, mais aussi les autres sièges épiscopaux, c'est-à-dire Alexandrie, Antioche, Rome et Jérusalem, villes dotées, aussi, de prestigieux bâtiments religieux auxquelles les colonnes du ciborium auraient pu appartenir. En fait, les objets décontextualisés de la Basilique de San Marco, ont été associés de façon parfois trop automatique à Constantinople et plus spécifiquement au pillage de la ville par les vénitiens de la quatrième croisade en 1204, dont le ton dramatique de la Chronique de Nicolas Mésaritès peut être la cause. Pourtant, d'un côté I 'arc de temps dans lequel l'Empire Latin d'Orient a existé a permis au vénitiens de s'approprier des œuvres d'art pendant cinquante-sept ans (et pas seulement pendant le pillage de Constantinople de 1204), et d'autre coté, les relations commerciales des vénitiens qui concernaient toute la Méditerranée, malgré la domination musulmane, rendent possible un lien avec les autres centres importants de l'antiquité tardive au-delà des dates topique de 1204-1261. Le court-circuit causée par le déplacement d'une œuvre provenant d'un contexte sacré et fortement symbolique vers un autre contexte également éminent, permet l'entrecroisement de - au moins deux mondes et deux temps dont les spécifiés de chacun émergent avec force.

  • À la table des princes ... et des autres. Consommation et pratiques alimentaires sur les sites castraux et élitaires du nord de l'Aquitaine et du centre-ouest de la France (Xe-XVe siècle)    - Viaut Charles  -  18 novembre 2021

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    L'examen de données provenant d'un corpus de sites archéologiques et de sources textuelles, en partie inédits, a permis une approche à nouveaux frais des pratiques alimentaires sur les sites élitaires d'entre Loire et Garonne du dixième au quinzième siècle. L'approche thématique, de l'approvisionnement et de la préparation des aliments à leur consommation et à leur portée sociale et culturelle, montre l'importance centrale des activités alimentaires dans l'organisation des résidences du pouvoir et dans l'affichage de la culture et de l'identité du groupe élitaires. L'approche sur la longue durée a permis de saisir des phénomènes de transformation des pratiques alimentaires sur une durée de plusieurs siècles, liés à l'évolution des modes de vie et des représentations du groupe aristocratique, mais aussi à des facteurs économiques et environnementaux. Les liens étroits entre les sites et leur environnement immédiat sont ainsi l'une des principales grilles de lecture de l'approvisionnement, bien qu'avec le temps, la place de l'économie monétaire et du marché se fasse de plus en plus prégnante. Du point de vue de l'histoire culinaire, des hypothèses concernant l'évolution des cuisines aquitaines et poitevines ont également pu être avancées dans le sens d'une progressive uniformisation des pratiques culinaires, voire des goûts. L'approche d'un thème à l'interface de l'histoire de l'alimentation et de l'archéologie castrale a finalement donné lieu une réflexion méthodologique sur les divergences et les usages conjoints des sources écrites et des données archéologiques.

  • Voir consiste à ne pas voir. La sculpture du portail et la théologie apophatique au XIème siècle (Saint-Denis, Moissac, Aulnay)    - Vernerey Élise  -  11 décembre 2020

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    Intimement liés au Moyen Âge, le décor de l'église et la théologie ont pour visée l'appréhension par l'homme des réalités divines. Au carrefour de la philosophie et de l'histoire de l'art, cette recherche a pour objet l'étude des mécanismes communs à la théologie apophatique et à la relation entre l'homme et les images sculptées du portail au XIIe siècle. L'analyse des décors du portail central de Saint-Denis, du porche de Saint-Pierre de Moissac et du portail méridional de Saint-Pierre d'Aulnay rend nécessaire celle de leurs présupposés théologiques respectifs. Les modes négatif et aporétique, prônés par la théologie, permettent de concevoir les images de la façade de ces églises comme les déclencheurs d'une élévation spirituelle anagogique chez leur regardeur. Grâce à la sollicitation visuelle d'une distanciation face à l'artefact, mais aussi face à la prétention humaine de connaître son prototype divin, les décors servent l'homme dans un travail de purification et de restauration qu'il opère sur sa propre personne. Ainsi, les images du portail peuvent être pensées comme la figuration d'un cheminement mental abstractif, donné en exemple à l'homme. La technique de la sculpture est une soustraction de la pierre faisant apparaître l'idée. Elle fait écho au procédé de retranchement théologique, hérité des théories néoplatoniciennes. Passage et séparation, le portail de l'église rend possible l'expérimentation de ce parcours intérieur. Conduit à outrepasser par la négation les conditions terrestres et celles de son intellect, le fidèle est préparé au mystère de l'union liturgique au sein de l'édifice sacré : il renonce à comprendre le Dieu ineffable et accepte de s'en émerveiller.

  • Du Fleuve à l'Océan : l'arrière-pays de Saintonge-Angoumois, une expérience atlantique (1666-1792)    - Temdaoui Jean-Christophe  -  02 décembre 2020

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    Jusqu'au XVIIe siècle, les rapports entretenus par l'arrière-pays de Saintonge-Angoumois avec la mer étaient essentiellement vus sous le prisme des échanges commerciaux : la pierre, les vins et les papiers échangés contre les sels de Saintonge. Si, en 1666, la fondation de Rochefort approfondit cette relation par le développement d'un réseau manufacturier d'artillerie de Marine, connectée par la Charente à l'arsenal, elle contribue aussi à accentuer la projection sur les mers, les océans et outre-mer des gens des terres intérieures jusqu'à l'insurrection servile de Saint-Domingue de 1791. Par le recrutement des Classes de la Marine, par la migration ou la circulation transocéanique, comment l'arrière-pays de Saintonge-Angoumois connaît-il une expérience atlantique entre 1666 et 1792 ? C'est l'objet de cette recherche qui interroge à la fois les trames d'un territoire d'arrière-pays fluvial du Centre-Ouest atlantique à dominante rurale, les canaux de la construction d'une projection maritime et ultra-marine et les acteurs qui la régissent, ainsi que la diversité des trajectoires et des expériences biographiques qui donnent l'image de terres intérieures connectées avec les ports atlantiques et les horizons marins et ultra-marins. Les navigants de la Charente et de la Boutonne, de Saint-Jean-d'Angély à Angoulême et même au-delà dans les confins provinciaux, ont pu s'engager dans le travail maritime à bord des vaisseaux du roi à Rochefort ou des navires marchands à Bordeaux, La Rochelle, Nantes ou Lorient, ou choisir la voie de la projection dans la société d'habitation, aux Antilles, particulièrement à Saint-Domingue. Ces circulations océaniques et transatlantiques ont également porté l'influence de l'océan et de ses mondes américains lointains dans les terres intérieures

  • La causalité entre physique et métaphysique. Quand sonnent les cloches de Bell    - Sarrazin André  -  09 décembre 2020

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    Ce travail se propose de: - Établir et défendre une définition de la causalité - Identifier les caractéristiques d'une causalité - Montrer que la stérilité d'une grande partie des débats contemporains sur la causalité découle de tentatives de réduction d'une causalité à l'autre. Nous distinguerons le renoncement à l'entendement la dernière décimale, l'abandon de la localité, le déterminisme, les nouveaux débats et la causalité subjective vs objective Une étude de quelques articles contemporains fournira par la synthèse des remarques qui seront formulées une délimitation des études complémentaires nécessaires. Cela abordera en particuliers les problèmes des relata, les concepts d'états et d'événements. Les définitions de la causalité à l'époque contemporaine (Causalité INUS, causalité MT, etc.) permettront de lister les propriétés de cette causalité, qui ne peut être précisément définie, mais qui rassemble un faisceau de convergences. Nous essaierons de démontrer: - Que les problèmes liés à la nature et au nombre de relations causales, sont un simple résultat de la taille du grain retenu. - Que la causalité ne pose des problèmes de transitivité, de causes conjointes, d'effets simultanés et de contrefactualité que si elle est considérée comme une relation et non comme un processus de transition d'un état de l'univers à un autre - Que l'origine des problèmes contemporains concernant la causalité peut être expliquée par le hiatus entre les deux conceptions objective et subjective. Et comment le second est utilisé pour exprimer soit des jugements pragmatiques, soit des jugements de responsabilité, et comment il utilise pour cela une variation du niveau de grain et la causalité des absences (Grouchy absent, cause de Waterloo).

  • Logique et Réalité chez Hegel et Aristote. Dialogue avec Adorno et Deleuze    - Samaha Mahboub Caline  -  14 mars 2019

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    Dans cette thèse, nous remettons en question la critique faite à l'identité comme étant ce qui opprime la différence et l'évolution. Nous essayons de montrer que la recherche de l'identité propre au système hégélien ne porte pas atteinte au réel mais au contraire l'enrichit et est une condition pour son évolution et pour notre liberté. Nous montrons aussi comment l'accent mis sur l'unité lors de l'interprétation d'un philosophe, ici Aristote, est légitime parce qu'il nous permet de souligner chez lui une contribution à la recherche de la connaissance et de la liberté bien plus que ne le ferait l'accent mis sur la séparation, préservant mystère et irréductibilité. Cette dernière pourrait plutôt nous aliéner tout en nous donnant une illusion de liberté et d'espace. Nous nous opposons donc à une logique de la transcendance et de la séparation nous montrons comment cette logique est en elle-même réductrice. Nos travaux ont ainsi mené plus spécifiquement à assumer les idées d'unité, d'identité et d'achèvement présentes chez Hegel, dans une première partie et à montrer contre Adorno principalement qu'elles ne s'opposent pas à la liberté humaine mais qu'au contraire elles l'impliquent et en sont une condition nécessaire. Nous essayons dans une seconde partie de soutenir une interprétation hégélienne d'Aristote qui tient compte de l'unité, en nous opposant notamment à Pierre Aubenque qui défend chez Aristote une séparation et une irréductibilité. Enfin, dans une dernière partie nous soutenons la représentation du réel à travers la logique, - la contradiction chez Hegel et les contraires chez Aristote - avec pour but de montrer que le négatif propre à la représentation permet un pouvoir effectif sur le réel et ne peut être considéré être illusoire comme le prétendent Deleuze et Nietzsche. Dans ce travail, nous nous servons des critiques que font ces philosophes et ces commentateurs contre la philosophie hégélienne et contre ce qu'elle comprend comme présupposés, identité, système et logique pour mener notre réflexion. En soulignant les contradictions inhérentes à leurs critiques, nous montrons que la philosophie hégélienne et la perspective qu'elle propose dépasse ou surmonte ces contradictions et s'oriente plus vers la liberté.

  • Marx, le capitalisme et les paradoxes de l'économie contemporaine    - Sahali Sehi Armand  -  12 juin 2019

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    Les études récentes sur l'exploitation de l'individu dans le système capitaliste suggèrent une révision fondamentale de son approche. Le choix de la philosophie de Marx s'inscrit dans cette démarche. Sa théorie de l'exploitation, popularisée XIXe depuis le siècle jusqu'à nos jours, semble représenter les marges de son œuvre, plutôt que son noyau. La pertinence de sa critique s'actualise à mesure des mutations du capitalisme. Elle permet de saisir le noyau des paradoxes de l'économie contemporaine selon lequel : « la production capitaliste crée les conditions du bonheur de l'individu, pourtant ces conditions constituent une entrave à sa liberté ». Cette étude réalisée autour des théories économiques de Marx, propose une approche métastructurelle de la critique du capitalisme au XXIe siècle, tout en dégageant des pistes d'émancipation du travail. A ce titre, Marx s'engage dans une perspective réformatrice des principes de liberté et de justice sociale.

  • Le numérique et l'esprit. Prendre soin des technologies numériques de l'esprit à la lumière de Gilbert Simondon, Maurice Merleau-Ponty, Henri Bergson.    - Puig Mailhol Vincent  -  13 mars 2023

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    Cette adresse aux designers procède d'une démarche de décentrement anthropologique pour tenter de penser et prendre soin du digital comme spiritual au sens où Derrida interprétait ainsi le processus de questionnement mais aussi la technique chez Heidegger. Cet itinéraire passe par une critique de la notion d'information chez Simondon pour repenser « l'âme des objets ». Il se poursuit par une analyse de la question de la chair à partir de Merleau-Ponty pour proposer le passage d'une « chair souffrante du numérique » à une organologie et une pharmacologie du geste digital. Il aborde enfin ce que Bernard Stiegler nommait les technologies de l'esprit, par le prisme de l'intuition bergsonienne et de la transduction simondonienne pour réintroduire la pensée analogique dans le design numérique d'une bienveillance dispositive, condition techno-esthétique, éthique, cosmotechnique et politique du développement du bien commun et des savoirs.

  • Éric Losfeld. Bandes dessinées et recherches graphiques    - Preteseille Benoît  -  10 juillet 2020

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    Au cours des années 1960, en France, s'organise un mouvement en faveur de la bande dessinée. Des amateurs créent des associations, des expositions, des revues, qui mettent principalement en valeur les séries américaines des années 1930-1940, qu'ils considèrent comme l'âge d'or de cet art. Ce mouvement culturel va encourager l'auteur Jean-Claude Forest à dessiner les aventures de Barbarella, puis l'éditeur Éric Losfeld, installé à Paris, à publier ces pages dans un volume façonné avec soin, aux éditions du Terrain Vague. Cette bande dessinée s'adresse à un public adulte, et s'éloigne narrativement des productions contemporaines qui étaient destinées à des revues jeunesse. Losfeld, initialement intéressé par le surréalisme, le cinéma, le fantastique et l'érotisme va ensuite développer une collection de Bandes dessinées, souvent accolée à la collection Recherches graphiques, dans lesquelles dix-neuf titres seront édités entre 1964 et 1973. L'étude des conditions d'apparition de ces livres et de leurs particularités est croisée avec celle de mes propres productions, ayant commencé à créer des fanzines personnels en bande dessinée en 2002, avant de co-fonder une maison d'édition alternative, Warum, et de publier de nombreuses bandes dessinées et livres graphiques chez diverses structures. Cette thèse de recherche-création fait également écho à deux bandes dessinées travaillées conjointement : Le Jaune, ouvrage numérique publié en 2019 par Hécatombe, et Les Poupées sanglantes, publié en 2020 par Atrabile.

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